G-DMT7WW3X5R

histoire

  • Belle maman

    images-34.jpg           Le propriétaire d'une maison de campagne débarque chez son voisin, lui aussi propriétaire d'une grande maison et d'une immense propriété. 

              "Bonjour voisin, je venais pour vous dire que depuis deux jours que ma belle-mère est à la maison, votre berger allemand a déjà sauté la clôture et l'a mordue 3 fois !"

              "Vraiment ? Je ne savais pas." fait l'autre navré "Nous allons le laisser enfermé dans son chenil tout le temps nécessaire alors."

              "Non, non, au contraire" répond le gendre "Je voulais vous demander si vous ne vouliez pas me le revendre."

  • Il y a de gaz dans l'air !

    images-11-2.jpgLe type visite, pour la première fois, les parents de sa copine.
    Il veut faire bonne impression.
    À table, la conversation est agréable et animée.
    Les convives s'amusent.
    Notre bonhomme impressionne.
    Mais voilà qu'un gaz terrible s'annonce.
    Il ne peut plus se retenir.
    Grâce à un contrôle absolu de ses muscles, il en claque un... silencieux... et une odeur nauséabonde flotte autour de lui.
    Le père lance... 
         - MEDOR!! C'est le nom du chien qui est justement couché sous la chaise de notre homme.
    Ouf! pense se dernier, ça passe sur le dos du chien.
    Il en profite pour en lâcher un autre qu'il ne pouvait plus retenir.
    L'air devient irrespirable.
         - MEDOR!!! Gueule le père.
    Les yeux dans le vague, en hypocrite, notre gars en laisse partir un troisième.
                                                     - MEDOR, hurle le père, TIRE TOI DE LÀ, CE TYPE VA TE CHIER DESSUS !

  • Un chien héroïque saute dans l’eau glacée pour sauver son maître

    Un chien héroïque saute dans l’eau glacée pour sauver son maître

    5158981781-bd61a356ed-z.jpgLundi matin, en Ecosse, un Akita inu saute dans l’eau glacée des Methil Docks pour sauver son maître de la noyade qui, selon les services de secours, a tenté de se suicider.

    Le chien héroïque qui a voulu sauver son maître en l’empêchant de mettre fin à ses jours, est resté à ses cotés jusqu’à l’arrivée des secours. Les pompiers sont arrivés sur les lieux neuf minutes plus tard, peu après 5 heures du matin.

    Une opération de sauvetage de grande envergure se met alors en place pour sauver le maître et son chien : pompiers,  policiers, ambulanciers et gardes-côtes travaillent ensemble sur le sauvetage.

    Des secouristes spécialistes du sauvetage en mer utilisent alors un traîneau et une échelle pour sortir l’homme et son chien de l’eau.

    Selon les pompiers, l’homme, d’un âge moyen, aurait tenté de se suicider en se jetant dans l’eau glacée, son chien aurait sauté après lui. L’homme a été transporté dans un hôpital proche et ses jours ne sont plus en danger. L’Akita Inu, sain et sauf, a été confié à la famille de ce dernier.

    Un pompier témoigne : "Nous ne connaissons pas vraiment les circonstances des faits mais nous pensons qu’il a tenté de se suicider – il semble que le chien a essayé de l’en empêcher"

    Ce nouvel acte héroïque d’un chien qui vole au secours de son maître nous conduit une nouvelle fois à la même conclusion : le chien est bel et bien le meilleur ami de l’homme et ce, en toutes circonstances, même en risquant sa vie pour sauver celle de son maître.

    Et vous, seriez-vous prêt à risquer votre vie pour sauver celle de votre chien ?

  • L'origine des chiens : une affaire compliquée

    images-9.jpgLe chien est le premier animal domestiqué. Cela remonte certainement à plusieurs dizaines de milliers d'années. Il est donc très difficile de trouver l'origine des chiens actuels. La génétique indiquerait que l'animal ancêtre des chiens serait unique : le loup gris commun. Une nouvelle étude vient donner un grand coup de pied dans ce problème, pour rendre les choses encore moins sures. 

    L'étude a été menée par des chercheurs de l'université Durham, non loin de Newcastle. Elle consistait à analyser les données génétiques des chiens modernes, et à les comparer avec des analyses de restes archéologiques de chiens anciens. Les chercheurs ont constaté que les races modernes ont génétiquement peu de choses en commun avec leurs ancêtres antiques. 

    1375 chiens de 35 races ont été étudiés. L'étude montre globalement qu'il est très difficile d'obtenir des données concernant l'histoire primitive de la domestication du chien. L'animal a suivi l'homme partout et il y a très longtemps. Les croisements sont donc multiples et fréquents. Sur une pareille échelle de temps, il est difficile de s'y retrouver. Ainsi, des races réputées anciennes, comme le lévrier afghan, ne sont pas plus proches des premiers chiens domestiques que les autres races modernes. 

    salukis.jpgdingo.jpg

    Des races avec des patrimoines génétiques différents de la majorité des autres chiens pourraient être considérées comme des reliquats ancestraux. On retrouve dans cette catégorie le dingo ou les salukis. Il n'en est rien, leurs patrimoines génétiques diffèrent uniquement parce qu'ils étaient à l'écart au XIXe siècle des grands élevages du Royaume-Uni qui ont donné naissance à la plupart des races actuelles.

    ancetres-du-chien-tableau-1.jpg

    Pour aller plus loin: Greger Larson et al. Rethinking dog domestication by integrating genetics, archeology, and biogeography PNAS 2012 ; published ahead of print May 21, 2012

  • Quand l’animal perd la vue elle décide de continuer malgré tout...

    avec-de-la-patience-de-l-entrainement-et-beaucoup-d-affection-capone-vient-a-bout-de-tous-les-obst.jpgUn « choc ». C’est ce qu’a ressenti Élisabeth Scheid, aide soignante passionnée de dressage canin, quand le vétérinaire lui a appris que son chien perdait la vue. « J’avais des doutes. Il voyait bien quand je l’ai recueilli pour le dresser. Mais j’ai vite remarqué qu’il attendait d’entendre la balle tomber au sol avant d’aller la chercher, que quelque chose n’allait plus. »

    Et pour cause, ce berger australien est atteint d’atrophie progressive de la rétine, une maladie dégénérative. « Il n’y avait rien à faire. En un an et demi, il était totalement aveugle. Je ne pouvais me résoudre à le tenir toute sa vie en laisse. »

    Elle décide de transformer ce handicap en défi. » J’ai choisi de l’entraîner à deux disciplines : l’obéissance et le pistage. »

    PAS À PAS

    Commence alors un parcours du combattant pour l’animal et sa maîtresse au club canin de Sommerviller. « Le plus difficile pour l’obéissance, c’était l’épreuve de saut. Capone est dans le noir, il ne sait pas où est l’obstacle, ni à quelle hauteur et il doit avancer seul. » Il a fallu avancer pas à pas, au prix d’entraînements que le chien attend chaque jour avec impatience.

    « Il a commencé par apprendre à évaluer la hauteur avec sa truffe, à sauter sans élan, puis on l’a fait commencer de plus en plus loin. » Désormais, le chien accomplit l’exercice avec une confiance déconcertante sous les yeux brillants de fierté d’Élisabeth.

    Le pistage est encore d’une autre difficulté. La discipline consiste pour le chien à suivre la piste d’un homme le plus précisément et le plus directement possible, à récupérer un petit objet au bout du parcours et à le ramener directement à son maître sans le mâchonner. « Le périmètre est un grand carré de 150 m de côté et Capone doit pouvoir se souvenir de mon emplacement après avoir fait des détours. »

    Pour tous les exercices, chaque détail est réglé au millimètre. « Je dois positionner son corps et même sa tête au moment du départ pour lui faire comprendre la direction dans laquelle je veux qu’il aille. Il faut que je sois aussi concentrée que lui. »

    FUSION TOTALE

    André Arnould, président du club canin de Sommerviller, approuve. « Du fait de son handicap, le chien a développé l’olfaction des phéromones. Il sent l’humeur de sa maîtresse dans une fusion totale. L’apothéose, c’est quand les gens ne remarquent même pas qu’il est aveugle. »

    Au quotidien, l’animal s’adapte. « Q uand il arrive dans un endroit qu’il ne connaît pas, il mémorise les obstacles et ne se cogne pas deux fois. » Le chien de 4 ans et demi peut compter sur la protection de Ténor, l’autre chien d’Élisabeth, qui l’éloigne instinctivement du danger dans leurs jeux. « Au tout début, Ténor portait une clochette et Capone le suivait partout. » se souvient Élisabeth.

    Que de progrès accomplis depuis ! « Les chiens s’épanouissent dans le travail. S’il était resté sur un canapé, il serait mort », affirme André Arnould.

    De temps à autre, Capone peut même s’exercer à ce pour quoi il était destiné : le gardiennage de troupeaux. « Il entend et sent les brebis et sait les manipuler. »

    Élisabeth est aujourd’hui confiante « La déception s’est transformée en enrichissement. » Son objectif : amener Capone jusqu’au plus haut niveau de dressage international, la classe 3.

    Marie SOYEUX

  • Un chien sauve son maître qui vient d’être foudroyé

    chien-sauve-maitre-foudre-uk.jpgAlors qu’il vient d’être assommé par la foudre et qu’il est à peine conscient, Ian Thomas, un britannique de 64 ans, a pu compter sur la loyauté de son chien pour le traîner jusqu’à la maison.

    Ian est un homme chanceux ; survivre à un coup de foudre (au sens propre) est plutôt rare. Mais quand il a été frappé par la décharge électrique parce qu’il tenait une gamelle pour chien en métal, il portait des bottes en caoutchouc qui ont empêché le courant de traverser son corps.

    Il a tout de même perdu connaissance et a recouvré ses esprits grâce à Monty, son fidèle Schnauzer qui lui a léché le visage pour le faire revenir à lui.

    Il s'accroche à son chien

    Ian s’est alors levé, a titubé avant de s’effondrer au sol. Il ne pouvait plus avancer. Heureusement il savait qu’il pouvait compter sur Monty son fidèle compagnon.

    Il a mis ses bras autour de lui, et l’animal l’a traîné sur près de 100 mètres jusqu’à la maison.

    Là, sa femme ne perd pas une seconde et l’amène en urgence à l’hôpital. Désormais sain et sauf, il explique comment il a vécu ce drame.

    Le chien aussi a été touché

    « J’ai senti comme une explosion dans ma tête et j’ai entendu le chien hurler. Il a fait la même sorte d’aboiement que quand sa truffe touche une clôture électrique, donc je pense qu’il a été touché par la foudre lui aussi. »

    « Je savais que je n’étais pas mort parce que je sentais une douleur atroce. J’ai suivi mon instinct et me suis accroché à Monty. »

    Quand leur héros de chien a amené Ian à la maison, sa femme a cru qu’il était en pleine crise cardiaque. « Il semblait choqué et souffrait énormément. Monty était effrayé lui aussi, il a couru dans la maison et a caché sa tête dans ses pattes. »

    Monty peut être fier de lui, non seulement il prouve que les chiens ont une intelligence plus développée que celle qu’on leur prête, et il confirme que la loyauté est bien la première qualité des chiens !

  • Un chien pris pour cible vivante devient un symbole de la maltraitance aux USA

    andre-pinscher-matraitance-yeux.jpgAux Etats-Unis, un chien a été torturé par des personnes malintentionnées qui lui ont tiré dessus à de nombreuses reprises avec un pistolet à air comprimé, puis l’ont laissé pour mort, attaché dans un sac plastique jeté sur le bord de la route.

    Un après-midi, alors qu’il se promène près de chez lui à Tolleson (Arizona), Cédric Conwright voit une voiture ralentir à son niveau et jeter un sac plastique par la fenêtre. Dans un premier temps, Cédric passe son chemin, mais rapidement, il voit le sac bouger. « J’ai pensé que c’était un serpent » affirme-t-il. Alors il secoue le sac et entend des gémissements.

    Il ouvre aussitôt le sac et voit un chien dans un état lamentable. « Il était vraiment maigre, ses yeux étaient fermés et couverts de boue. Je ne pouvais pas croire qu’il soit vivant. »

    Cédric prend alors le chien et l’amène chez lui. Il découvre avec surprise que le chien parvient à manger et à boire ce qu’il lui donne.

    Les 2 jours suivants, il continue de s’en occuper et constate qu’il y a quelque chose de grave avec ses yeux. « Je savais qu’il ne voyait pas car il se cognait tout le temps. Il avait besoin de plus d’aide que je ne pouvais lui en donner. »

    L'animal a échappé à l'euthanasie

    Alors il a contacté un centre de soins animalier qui a pris l’animal en charge. Les employés du refuge animalier ont immédiatement envisagé l’euthanasie… ses blessures étaient trop importantes. Mais puisqu’il était capable de se nourrir ils ont décidé de lui donner une seconde chance.

    Malheureusement, rien n’a pu être fait pour ses yeux qui avaient manifestement été crevés, il a fallu les retirer. Au-delà de ses yeux, les problèmes de santé sont importants ; le jeune Pinscher nain d’environ 4 ans est anémique, diabétique, et les vétérinaires ont trouvé une balle de pistolet à air comprimé sous sa peau. Il a été la cible vivante de personnes armées !

    17 000$ de dons pour André

    Le vétérinaire qui a pris soin de lui a été choqué de voir à quel point l’animal s’est rétabli quelques jours plus tard. Baptisé André, le Pinscher est un véritable miraculé qui s'accroche à la vie.

    Très vite, l’histoire d’André le pinscher qui revient de loin circule dans le milieu des amoureux de la cause animale. Tous sont émus et cherchent à aider l’animal rescapé d’une façon ou d’une autre.

    Petit à petit, le mouvement de solidarité se met en place et les dons affluent pour couvrir les soins d’André le chien. Des dons de 5$ par-ci, 60$ par-là… Le bouche-à-oreilles et les réseaux sociaux font leur travail, et très vite, ce sont 17 000$ (12 850 euros) de dons qui sont levés pour André.

    Ses soins ont coûté 5 000$ alors la fondation qui a pris soin de l’animal a annoncé que le surplus de 12 000$ servirait à aider d’autres animaux dans le besoin.

    standard-andre-pinscher-rottweiler-maltraitance.jpgDe nouveaux maîtres pour le Pinscher

    Aujourd’hui, André est toujours un petit chien maigre, mais il a repris du poil de la bête. Alors qu’il était la vedette d’une émission de télé locale, un couple tombe sous le charme. « Ca a été le coup de foudre » disent-ils. « Nous n’avions jamais eu de chien de refuge avant mais nous savions que nous pouvions nous occuper de lui. »

    André le Pinscher a toujours besoin de beaucoup de soins, mais sa nouvelle famille avec sa nouvelle amie, K-Bella croisée Rottweiler lui apporte tout ce dont il a besoin. « C’est fascinant comme cette petite chose fragile peut toucher autant de cœurs » racontent ses nouveaux maîtres. « Nous voulons rassurer les gens, ils est bien traité et aimé. Tout ce dont il aura besoin, il l’aura. Il aura la meilleure vie possible désormais. »

  • Un chien vieux de 33 000 ans en Sibérie


    siberie-33000-ans.jpgPubliée en 2011 dans PLoS ONE et relayée en janvier 2012 par le site de l’Université de l’Arizona, l’étude réalisée par une équipe russe et américaine du crâne fossilisé d’un chien, découvert dans l’Altaï sibérien, suggère que cet animal a été domestiqué dès -33 000 ans, sans être toutefois à l’origine des lignées de chiens actuelles, qui proviennent de domestications ultérieures. 

    L’étude
    Le crâne fossilisé d’un canidé, découvert dans la grotte de Razboinichya, dans l’Altaï (sud de la Sibérie), a fait l’objet d’analyses minutieuses effectuées dans plusieurs laboratoires, notamment dans le Laboratoire de spectrométrie de masse de l’Université de l’Arizona, sous la houlette de Greg Hodgins. Les chercheurs concluent qu’il s’agit d’un chien domestique, vieux de 33 000 ans – d’ailleurs contemporain d’un autre chien fossilisé découvert en Belgique – et distinct de toutes les lignées de chiens actuels. Ce qui contredit définitivement l’idée d’un événement unique, dans l’espace et dans le temps, comme origine de la domestication de cet animal.
         
    Un spécimen exceptionnel
    Extraordinairement bien conservé, ce fossile de l’Altaï a permis aux scientifiques d’effectuer, outre une datation au radiocarbone, des mesures multiples du crâne, des dents et des mandibules, et des comparaisons avec différents autres spécimens : des loups du Paléolithique ; des loups actuels ; des chiens domestiques préhistoriques bien documentés (les plus anciens ayant ‘seulement’ 14 000 à 9 000 ans) ; et enfin des chiens ‘modernes’. La forme la plus proche s’avère être le chien domestique actuel du Groenland (attesté depuis 1 000 ans). 
    « Les loups ont un museau long et mince et leurs dents ne sont pas serrées, mais la domestication a eu pour résultat [chez le chien] ce raccourcissement du museau, cet élargissement de la mâchoire et ce chevauchement des dents. L'argument selon lequel [ce fossile sibérien] était domestiqué est assez solide. Ce qui est intéressant, c'est qu'il ne semble pas être un ancêtre des chiens modernes », déclare Hodgins. 

    Une première domestication ‘avortée’
    Avec ses 33 000 ans, le chien de l’Altaï est antérieur au dernier maximum glaciaire (LGM, en Anglais, entre -26 500 et -19 000 ans) : un refroidissement climatique qui a gravement perturbé les habitudes de vie des humains et des animaux vivant pendant cette période, et vraisemblablement entraîné, selon les auteurs, la fin de ces premiers épisodes de domestication, tant en Sibérie qu’en Belgique.
     « En termes d'histoire humaine, avant cette glaciation, les gens vivaient avec des loups ou d’autres espèces de canidés dans des zones géographiques largement séparées d’Eurasie, et ont vécu avec eux assez longtemps pour que [ces animaux] aient réellement changé sur le plan évolutif. Et puis, avec le changement climatique qui est arrivé, ces modes de peuplement humain se sont modifiés et ces relations avec ces lignées particulières d'animaux n'ont apparemment pas survécu », explique Hodgins. 

    Origine multiple des chiens actuels
    Les deux crânes (Altaï et Belgique) montrent que la domestication des chiens par des humains s'est produite à plusieurs reprises à travers la préhistoire, en des lieux géographiques différents, ce qui pourrait signifier que les chiens modernes ont des ancêtres multiples plutôt qu'un seul ancêtre commun – contrairement à ce que suggèrent certaines  études génétiques antérieures.
    « Le chien (…) représentait probablement une protection, un compagnon (…). Et c'est vraiment intéressant que ceci semble s’être produit en tout premier lieu, en termes de relations entre humains et animaux », conclut Greg Hodgins.

    F. Belnet

    Sources : 
    ScienceDaily, 
    PLoS ONE